graphisme

Dans cet article, je vais vous partager mes 12 meilleurs conseils de productivité pour enfin terminer d’écrire votre livre. 
Pour me présenter, j’ai écrit deux livres aux éditions Eyrolles. J’ai aussi réalisé le documentaire Chemins de vie.
Ces dernières années, j’ai exploré des méthodes pour écrire de manière plus efficace malgré un emploi du temps chargé. 

J’ai longtemps cru que les écrivains étaient constamment traversés par l’inspiration.
En écrivant mon premier livre, j’ai réalisé que créer les bonnes conditions était essentiel pour laisser l’inspiration venir, car les écrivains ne sont pas toujours inspirés.
Parfois même, ils n’ont pas envie d’écrire. Ce qui fait la différence entre quelqu’un qui écrit un livre et quelqu’un qui ne l’écrit pas, c’est que dans les moments de découragements, les premiers persévèrent. Parce qu’ils ont une vision, une méthode et une discipline pour avancer efficacement.

points de couleur ocre

1. Engagez-vous sur une date de rendu du 1ᵉʳ jet 

Écrire un livre demande du temps, de l’énergie, de la persévérance. Votre mental vous proposera des tas de bonnes excuses pour ne pas écrire comme :

Je n’ai pas le temps, je n’ai pas d’idées, je ne sais pas comment m’y prendre, j’ai d’autres choses à gérer qui sont plus prioritaires.

Je connais très bien ça. Ce qui aide à déjouer notre mental, c’est de s’engager sur une date de rendu du premier jet.
J’ai déjà parlé de ce conseil dans l’article « comment je me discipline pour écrire mes livres », que je vous encourage à lire.
Je vous propose de choisir une date réaliste dans votre agenda et de décider qu’à cette date, vous aurez écrit votre premier jet.

En tant qu’écrivain débutant, on peut écrire entre 500 et 1000 mots par heure (sans se relire et sans transformer chaque phrase après l’avoir écrite). Si vous pouvez écrire 7 heures par semaine (1 heure par jour), vous allez écrire environ 5000 mots par semaine. Et donc il vous faudra 10 semaines (2 mois et demi) pour avoir un premier jet d’un livre de 50 000 mots. À cela, vous pouvez prévoir au moins un mois en plus pour finaliser votre plan, effectuer ou terminer vos recherches, faire face à d’autres imprévus, donc ça fait 3 mois et demi. Ça reste approximatif, mais au moins, ça vous permet de voir si votre objectif de 1ᵉʳ jet est réalisable. Ces estimations ne tiennent pas compte de toute la phase de relecture et de retravail du texte, ni de tous les moments où nous n’avons pas d’inspiration, où nous sommes fatigués, ni les phases de réorganisation de nos idées. 

Fixer une date pour votre premier jet vous motive. Vous accepterez plus facilement les contraintes, car vous saurez qu’elles ne dureront pas. Et en même temps, je vous conseille de ne pas vous mettre trop de pression pour y arriver. Autorisez-vous à décaler cette deadline autant de fois que nécessaire.
Aussi, je vous suggère d’annoncer à vos proches ou votre communauté que vous écrivez un livre et que vous aurez terminé à une date précise, cela va vous engager.

Dans ma formation en ligne « 3 mois pour écrire son 1ᵉʳ livre », les personnes s’engagent à avancer auprès du groupe, elles ont des personnes à qui rendre des comptes. Elles partagent leurs moments de découragement, mais aussi leurs victoires.

2. Demandez-vous quel est le message principal de votre livre

Souvent, on a du mal à se motiver pour avancer, car nous n’avons pas une raison assez forte et importante de le faire. C’est pourquoi je demande à toute personne souhaitant écrire un livre :

quel est le message principal que tu souhaites passer dans ce livre ? Qui est ton lecteur ou ta lectrice idéale ?

Pour ma part, en 2017, j’ai quitté mon travail dans le secteur bancaire parce que j’avais la sensation de m’éteindre et que je ne pouvais pas exprimer ma créativité dans ce travail. Je savais que je voulais changer de vie et la seule chose qui avait du sens était d’écrire. J’aimais écrire car je sentais que je me connectais à mes profondeurs, mais aussi à une forme de sagesse. Et j’avais envie d’apporter quelque chose au monde qui venait de mon cœur, de mes tripes et qui allait inspirer d’autres personnes à marcher elles aussi vers leur essentiel, après ces années dans le salariat à exécuter ce qu’on me demandait. En me levant le matin, je remerciais la vie de ne pas être dans le métro parisien, et ma façon de le faire était de m’engager pleinement dans mon projet de livre. J’imaginais celle que j’étais, bloquée dans son travail salarié dans lequel elle s’éteignait. Je la visualisais en train de lire mon livre et d’être inspirée à changer de vie. Cela me motivait.

lecteur

3. Ne vous éparpillez pas sur d’autres projets

Ce qui m’aide à aller au bout de l’écriture de mes livres, c’est qu’à un moment, le livre devient mon objectif prioritaire pendant un temps donné (souvent 3 mois). Je peux avoir deux objectifs prioritaires dans ma vie, mais pas beaucoup plus.
Nous disposons d’un temps et d’une énergie limités.
Lorsque je suis en phase d’écriture du premier jet d’un livre, je dis « non » à beaucoup de sollicitations pour garder un maximum de temps et d’énergie pour mon livre.


Un exercice intéressant est d’observer le déroulement de votre journée et d’écrire tout ce que vous faites, pendant 3 jours. Notez tout — ce qui est lié à l’écriture comme ce qui ne l’est pas — et mettez tout cela à plat devant vous. C’est en faisant cela que j’ai réalisé que je passais trop d’heures devant des vidéos youtube par exemple. À partir de là, voyez comment vous pouvez gagner du temps en réduisant certaines tâches. Il s’agit de discerner les tâches qui doivent être réalisées maintenant et celles qui peuvent attendre quelques mois, le temps d’écrire votre premier jet. Vous pouvez vous créer une liste des « choses à faire plus tard ». Par exemple, ces dernières années, j’ai souvent donné des conférences et projeté mon film Chemins de vie, parfois à l’autre bout de la France (ça prend tout un week-end). En phase d’écriture du premier jet, je peux décider de reporter des propositions de conférence. Aussi, dans les moments intenses d’écriture d’un 1er jet, je peux, si mes moyens me le permettent, investir dans un service de ménage ou me faire livrer mes courses par exemple, pour libérer encore plus de temps pour écrire.

Lorsque l’on me fait une proposition, je pars du principe, dans ma tête, que ce sera « non » avant de dire « oui ». Le fait de dire non par défaut m’incite à chercher des bonnes raisons pour que le non se transforme en oui. Ainsi, je ne me lance que dans les projets qui sont vraiment essentiels.


4. Créez une routine d’écriture

Quant il s’agit d’écrire un livre, la régularité est très importante. Il vaut mieux écrire 30 minutes par jour que 7 heures, un dimanche sur deux.
Je vous propose de déterminer des créneaux d’écriture dans votre agenda. Soyez réaliste, avec votre temps disponible chaque semaine. Il vaut mieux avoir moins de créneaux et s’y tenir que d’en avoir trop et sans cesse culpabiliser de ne pas être au rendez-vous.
L’idée est d’être prêt à écrire dès les premières minutes de votre créneau. Notre mental a besoin de savoir à quelle tâche il doit s’atteler. Pour cela, prenez un moment la veille au soir pour être au clair sur le chapitre sur lequel vous allez écrire le lendemain. Pour ma part, j’aime bien imprimer mon plan détaillé et mon synopsis pour les avoir sous les yeux.
Considérez que votre créneau d’écriture n’est pas facultatif : vous serez au rendez-vous. Vous vous sentiez fiers de vous juste après. Évidemment, si on est vraiment très fatigué, on peut s’offrir un peu de tolérance, mais souvent, on a juste peur d’être face à l’inconnu et à la page blanche. Dites-vous que si écrire était votre travail salarié, vous iriez quand même. Souvent, le plaisir vient en chemin.
Il y a des jours où j’ai l’impression d’être traversée par une énergie qui écrit à ma place, où c’est très fluide et il y a des jours où je me sens sans inspiration, où rien ne sort.
Ne culpabilisez pas si vous êtes moins productifs. Faites de votre mieux.

Si vous n’avez aucune inspiration, vous pouvez utiliser des contraintes d’écriture. Par exemple, commencez par écrire « je n’ai rien à écrire », 15 fois. Vous pouvez aussi prendre un livre au hasard, l’ouvrir à la page 15, ligne 8. Puis, il s’agit de noter la phrase qui s’y trouve et d’essayer de l’intégrer dans le chapitre de votre livre. En général les mots commencent à se délier.

5. Ritualisez vos créneaux d’écriture

J’essaie de voir mes créneaux d’écriture comme des moments chouettes plutôt que comme des contraintes. Pour cela, il y a des rituels qui m’aident à amorcer le processus d’écriture et à être plus apaisée et concentrée pendant mes séances. Les voici :
– Je commence par faire quelques mouvements du corps en secouant mes bras et en faisant des étirements. Et je prends une profonde inspiration et expiration.
– Je me prépare une boisson chaude (tisane, thé matcha selon le moment de la journée).
– J’allume une bougie.
– Je mets une musique inspirante (sans paroles). J’aime écouter des sons binauraux, ils m’aident à me concentrer
– Je mets mon téléphone en mode avion et je coupe internet de mon ordinateur. Ainsi, je ne peux qu’écrire. Parfois, la tentation surgit de scroller sur les réseaux sociaux ou de répondre à un email. Il m’arrive de craquer, mais globalement, j’essaie de ne pas être interrompue pendant l’écriture. Plusieurs recherches ont démontré qu’à chaque fois qu’une distraction nous sort d’une tache, nous perdons beaucoup de temps à nous concentrer à nouveau.
– Aussi, j’aime aller dans des cafés ou dans des bibliothèques pour m’inspirer d’autres énergies que celle de mon appartement. Chaque nouveau lieu éveille ma créativité différemment. Comme certains de ces lieux sont payants (il faut au moins consommer une boisson), cela peut même m’inciter à écrire si ma motivation est défaillante.

femme qui écrit

6. Faites une ébauche de plan détaillé

Je vous conseille de faire un plan détaillé de votre livre dès le début du processus d’écriture. Cela vous aidera à structurer votre récit.

Aussi, cela vous permettra de ne pas tourner en rond et à ne pas vous perdre en cours de route. Ce plan vous évite de chercher quoi écrire. Car vous savez où vous allez et comment. Cette clarté vous donne de la liberté.

Ce plan va changer au fil de l’écriture, évidemment. Vous pouvez être en train d’écrire votre livre et vous rendre compte à mi-chemin que vous souhaitez déplacer certains chapitres ou que vous souhaitez en couper. Cela n’est pas un problème, ce qui compte, c’est de pouvoir s’appuyer sur une structure.

Dans ma formation « 3 mois pour écrire son premier livre », je partage une méthode pour créer son plan détaillé dès le début de l’écriture alors qu’on n’a pas encore les idées claires.

7. Écrivez dans les moments où vous avez le plus d’énergie

À mesure que la journée avance, notre fatigue s’accumule et notre détermination s’étiole.

Quand on écrit avec un réservoir d’énergie presque vide, le résultat est souvent moyen. C’est pourquoi j’aime écrire environ une heure le matin, juste après mon réveil. C’est le moment de la journée où j’ai le plus d’énergie.

 Je vous propose de repérer les moments de la journée où vous êtes le plus créatif. C’est là qu’il conviendra, dans l’idéal, de placer vos séances d’écriture. Êtes-vous du matin ou du soir ? À quel moment, de la journée ou de la semaine, êtes-vous généralement le plus fatigué ou, au contraire, le plus dynamique ? Il s’agit de travailler avec son corps, avec ses rythmes biologiques propres. Vous n’en serez que plus efficace.

8. Ne sacrifiez pas votre sommeil

J’ai compris ces dernières années que mieux je me sens (physiquement, mentalement), plus mon écriture est fluide

Écrire demande un effort intellectuel intense et notre cerveau requiert du temps de sommeil pour se régénérer. Lorsque j’écrivais mon premier livre, je me suis installée sur une île au milieu de l’océan Pacifique : Isabela, aux Galapagos. Je cherchais du calme, mais les coqs chantaient fort à partir de 4h du matin. J’ai d’abord cru que j’allais m’habituer à me réveiller plus tôt et à ne dormir que 6 heures par nuit. Mais j’ai vite constaté que ma productivité en pâtissait fortement. J’ai fini par réarranger mon rythme de sommeil en allant dormir vers 19h, afin d’être sûre d’avoir 9 heures de sommeil. Ainsi, j’étais plus concentrée, mon cerveau fonctionnait bien mieux.

En phase intense d’écriture, ce qui m’aide à me régénérer, c’est de faire des petites siestes. Même si je ne dors que quelques minutes ou même que je somnole, le simple fait de m’allonger avec l’intention de dormir me détend et me permet de me relever avec un regain d’énergie.

9. Écrivez d’abord votre premier jet, relisez-vous plus tard

Je vous propose d’éviter de trop vous attarder sur les corrections en cours de rédaction de votre premier jet. Dans cette phase, il s’agit d’écrire comme si personne ne vous lisait. Ne soyez pas perfectionnistes pendant cette phase du 1ᵉʳ jet. Écrivez d’abord, construisez votre première version, créez la matière première. Ne vous jugez pas. Ne faites pas attention aux fautes d’orthographe et de grammaire. Vous pourrez peaufiner par la suite, corriger l’orthographe, la grammaire, enlever et ajouter des phrases.

Votre moral ira mieux, car vous aurez déjà une ébauche de livre sur laquelle vous appuyer.

Aussi, vous n’êtes pas obligés d’écrire votre livre en linéaire, vous pouvez avancer sur les chapitres qui vous inspirent le plus au début de votre phase d’écriture.

10. Écrivez de façon chronométrée et faites des pauses

Lorsque je me sens stressée et sous pression du temps, je peux avoir tendance à me forcer à écrire davantage pour avancer. J’entre alors dans un cercle vicieux où je suis de plus en plus stressée, et où je peux me mettre à saboter mon manuscrit en y travaillant dans cet état. Chaque once d’effort supplémentaire fourni en étant fatiguée est préjudiciable. Parce qu’un texte moyen nous rajoute du travail, car il consomme du temps pour être revu.

Vous savez ce qui m’aide à faire une pause ? Savoir que je n’ai pas le choix. Au-delà d’un certain point, mes batteries doivent être rechargées. Selon l’auteur du livre Zéro effort, l’idéal serait de faire trois sessions de travail le matin, de 60 à 90 minutes, avec des pauses de 15 minutes entre les sessions. Après un certain point, chaque heure de travail en plus ferait baisser notre productivité et saboterait notre travail (les économistes appellent cela la loi des rendements décroissants). Par exemple, si j’écris pendant 2 heures, je peux produire 2 pages. Mais si j’écris pendant 4 heures, je peux produire 3 pages. Lisa Jewell, qui est l’auteur de 18 romans aime écrire 1000 mots par jour, ça lui permet de maintenir un bon rythme, sans perdre son élan, ni s’épuiser.

Lorsque je suis en phase d’écriture du premier jet, j’aime écrire durant 60 minutes et me prendre des pauses, qui durent de 30 minutes pour aller marcher autour de chez moi. Je marche en réfléchissant aux scènes de mon livre, aux idées que je vais développer. C’est dans ces moments où j’ai eu mes meilleures idées.

Je vous recommande d’utiliser la dictée sur votre téléphone pour capturer vos idées à tout moment. Moi, ça me permet de marcher tout en parlant si une idée me vient, je dicte des phrases dans les Notes de mon iphone. Vous pouvez choisir entre deux types de dictées : la conversion parole texte en temps réel, ou parler dans un dictaphone maintenant, et transcrire plus tard.

livre zéro effort

11. Récompensez-vous !

Ecrire demande un grand effort ! C’est pourquoi il est important de se récompenser, pour se motiver à continuer.

Je me demande régulièrement : de quoi ai-je besoin, pour me motiver à aller au bout de l’écriture de ce chapitre ? Puis au bout du premier jet ?

Pendant l’écriture du premier jet, je m’encourage avec des petits plaisirs comme une tasse de cacao après 500 mots, un cours de danse, ou une sortie au cinéma.

Aussi, j’aime me faire une promesse du style : quand tu auras fini d’écrire ton premier jet, tu partiras en vacances (ou en week-end) à tel endroit. Je sais que je profiterai à fond de ces vacances, car j’aurai la sensation du travail accompli.

12. Répétez-vous : « Je suis écrivain, le livre est déjà écrit »

Lorsque j’écris un livre, je me répète que je suis écrivain. Et les écrivains, ils font quoi ? Les écrivains écrivent. Cela me permet de tenir mes créneaux d’écriture avec moins d’excuse. Je sens toute la puissance derrière le fait de dire : « je suis » (parmi d’autres choses), écrivain. Ça me permet de contacter la part de moi qui sait écrire et d’entrer pleinement dans ce rôle. Alors que si je me dis que j’essaie d’écrire un livre, même si c’est plus humble, je fais l’expérience d’essayer.

Je suis ce sur quoi je consacre le plus de temps. Et à cet instant, c’est à écrire. Donc oui, je suis écrivain. Pas forcément un écrivain connu, qui vend des millions de livres. Mais un écrivain.

J’accorde de l’importance à comment je parle, d’abord à moi-même. D’ailleurs, je vous conseille d’observer vos pensées d’auto-sabotage, comme : je suis nulle, je n’y arriverai pas, je ne suis pas à la hauteur. Et questionnez ces pensées : ah bon ? Suis-je sûre que c’est vrai ? Ai-je des preuves que je ne suis PAS nulle (vous pouvez penser à tout ce que vous avez déjà accompli jusque-là) ? Lâchez la pensée, ne l’alimentez plus, ne lui accordez plus d’importance, laissez-la passer comme un nuage.

Vous pouvez aussi vous rappeler, que de toute façon, vous êtes écrivain et vous suivez une inspiration qui est plus vaste que vous, donc au pire que vous soyez nulle ou pas, ça n’a pas d’importance, car c’est cette inspiration qui va vous guider, pas à pas. J’en parle dans l’article « surmonter le syndrome de l’imposteur en 8 étapes ».

Ça m’aide aussi de me dire que mon livre existe déjà, dans l’invisible. J’ai toute la matière, je dois juste agencer les idées, faire des liens et matérialiser ce livre.

Un exercice, pour conclure

Je vous propose de vous poser cette question :

De quoi ai-je besoin pour enfin terminer d’écrire ce livre ? Quelles sont les actions que je peux mettre en place dans mon quotidien pour écrire plus efficacement ?
Écrire dans un café ? écrire le matin ? écouter des sons binauraux ? Des balades en nature ? n’avoir qu’une heure devant moi ou avoir 4 heures devant moi ? moins de réseaux sociaux ?
Répondez-moi en commentaire ! Je serais ravie de vous lire.

Créer les bonnes conditions pour écrire, c’est important. Et en même temps, il s’agit aussi de ne pas se créer des conditions trop rigides. Se mettre trop de pression, c’est contre-productif. Respecter les créneaux d’écriture qui sont dans mon agenda, c’est important, mais si un jour, je suis vraiment fatiguée, je saute le créneau et je ne me juge pas, je ne culpabilise pas pour cela. Je fais de mon mieux.
J’ai déjà fait un burn-out quand je travaillais dans le secteur bancaire à Paris, je ne souhaite surtout pas en refaire un en écrivant mes livres. Au final, ce qui compte, c’est surtout dans quel état j’écris ce livre et comment j’évolue et je me transforme en l’écrivant.

Je vous souhaite de beaux moments d’écriture. Et si vous avez un projet de livre et que vous sentez que vous êtes bloqués pour avancer, je me ferais une joie de vous accompagner dans ma formation en groupe ou en accompagnement individuel.

Ma formation en ligne « 3 mois pour écrire son premier livre » démarre le 14 janvier, je me réjouis !

graphisme

Cet article vous a plu ?

Voici la vidéo YouTube associée à l’article :

Inscrivez-vous à la Newsletter !

Et recevez toutes mes actualités :
  • Projections en présentiel ou en visio
  • Échanges
  • Dédicaces
  • Conférences
  • Réflexions …
graphisme de feuilles
Nous n'avons pas pu confirmer votre inscription.
Votre inscription est confirmée.
Votre adresse mail est uniquement collectée pour les activités de Pauline Wald. Vous pouvez à tout moment vous désinscrire via le lien inclus dans la newsletter.

Retrouvez-moi sur les réseaux sociaux !